Dans la nuit du 29 au 30 août, WikiLeaks s’est déclaré victime d’une cyber-attaque de type « déni de service distribué » (DDOS ou Distributed Denial Of Service en anglais), qui a visé son site miroir Wikileaks.org.
Une action probablement perpétrée en représailles à la nouvelle série de révélations-choc de l’organisation qui milite pour davantage de transparence dans la vie politique et économique dans le monde.
Rétabli le 31 août avant l’aube, l’accès au site aura été condamné plusieurs heures durant.
Depuis, la situation serait revenue à la normale.
Une vague de piratage en cache souvent une autre, notamment avec WikiLeaks.
L’organisation de Julian Assange a récemment fait parler de lui, en procédant à de multiples divulgations d’ordre diplomatique. Ce qui lui a valu le courroux des autorités américaines et australiennes.
Depuis son cabinet ministériel de Sydney, Robert McClelland déplore la fuite de plus de 134 000 éléments dont la confidentialité serait pourtant une condition sine qua non au maintien de l’ordre national.
« La mise à disposition de telles informations pourrait sérieusement compromettre la sécurité en Australie« , explique-t-il. « C’est un comportement tout simplement irresponsable« .
Ce à quoi WikiLeaks rétorque que « ces données, qui ne sont pas classées confidentielles, ont déjà été publiées sur divers supports. Il ne s’agit là que d’une compilation.«
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