C’est la première grosse mise à jour de l’année 2016 pour WordPress : la version 4.5 est disponible depuis ce mercredi 12 avril, sous le nom de code « Coleman », en référence au saxophoniste et ténor de jazz américain Coleman Hawkins.
Les travaux menés sur le chantier du responsive se traduisent par une prévisualisation plus souples dans l’éditeur de thèmes : un bouton permet de basculer entre mobile, tablette et PC pour se donner une idée du rendu sur chacune de ces plates-formes.
On notera aussi la prise en charge native des logos : plus besoin de farfouiller dans chaque thème pour trouver les options d’insertion.
Ça bouge aussi dans l’éditeur de texte enrichi. Notamment au niveau de la gestion des URL.
WordPress 4.3 avait assoupli ce processus en permettant d’associer, à un texte sélectionné, une adresse collée depuis le presse-papiers.
WordPress 4.5 flexibilise un peu plus la démarche en permettant l’édition de ces adresses, avec un système d’autocomplétion via jQuery UI. Le tout se fait en inline, c’est-à-dire sans qu’une fenêtre modale s’ouvre comme c’est le cas sur les versions précédentes du CMS.
La mise en forme du texte gagne elle aussi en souplesse avec certains « raccourcis » qui permettront de se passer de la souris : trois traits d’union donnent un < / hr > ; les dièses, des intertitres (H1, H2…). Quant aux apostrophes, elles permettent de délimiter du code. Le gras et l’italique ne sont pas encore intégrés, mais des tests ont été effectués dans la version bêta.
La modération des commentaires évolue elle aussi. Ou plus exactement les pages auxquelles on accède via les e-mails de notification de nouveaux commentaires.
En plus d’approuver des commentaires par ce biais, il devient possible de les éditer. Le code HTML est par ailleurs pris en compte. Et le texte est mieux adapté à l’affichage. À noter que les liens qui pointent vers le même domaine ne porteront plus, par défaut, l’attribut nofollow, utilisé pour l’indexation dans les moteurs de recherche.
Toujours en façade, il devient possible de se connecter avec une adresse e-mail plutôt qu’un nom d’utilisateur. En coulisse, le traitement des images est amélioré : l’utilisation de la taille 82 au lieu de 90, conjuguée à un retrait automatique des métadonnées inutiles, permet de réduire le poids des fichiers (jusqu’à 50 % de gain).
Crédit photo : PhuShutter – Shutterstock.com
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