La page Ericsson refermée, quel dessein poursuit Sony sur le marché de la téléphonie mobile ? Et quelle dynamique compte entretenir le groupe high-tech japonais pour arriver à ses fins ?
Les motivations semblent en partie transparaître dans l’officialisation du Xperia SL, nouveau smartphone de la maison.
Impasse est faite sur les processeurs quadricoeurs de dernière génération, mais l’accent est résolument mis sur le multimédia.
Cet élément un tant soit peu distinctif reste caractéristique d’une gamme qui s’en remet somme toute à une évolution naturelle, au sein d’un catalogue devenu conséquent par la force des années, sans toujours accoucher des résultats escomptés.
Pas de doute, il s’agit bien là d’un successeur du Xperia S, présenté au CES 2012.
En premier lieu, le processeur double coeur Qualcomm MSM8260 à 1,5 GHz, référence depuis lors, bénéficie d’une mise à jour en version à 1,7 GHz, mais toujours en dual-core, loin de la course effrénée à la puissance que se livrent les constructeurs.
Implémenté en standard, Android 4.0 Ice Cream Sandwich s’appuie sur 1 Go de RAM.
Le panneau tactile TFT de 4,3 pouces en 1280 x 720 points (16 millions de couleurs et 342 dpi contre 326 pour l’iPhone) doublé d’une technologie Reality Display inspirée des téléviseurs Bravia s’est également imposé, pour l’heure, comme un incontournable.
Cette tendance à l’agrandissement des diagonales d’écran reflète la propension des terminaux mobiles à prendre un léger embonpoint.
Témoin ces 144 grammes sur la balance, tenant compte de la batterie non amovible logée dans un châssis mat renforcé de 12,8 x 6,4 x 1,06 cm.
Il y a néanmoins foule en ce généreux intérieur. A une puce NFC (technologie sans contact) s’adjoignent ainsi un modem 3G HSPA+ à 42,2 Mbit/s théoriques et une interface Bluetooth 4.0 / Wi-FI 802.11n avec compatibilité WPA2 et DLNA.
La webcam frontale à 1,3 millions de pixels remplit toujours son office dans l’exercice de la visioconférence, quand le capteur dorsal à 12,1 mégapixels se destine aux photographes, avec son flash LED, son zoom 16x et son ouverture à f/2.4.
Mais la mémoire interne de 32 Go (6 Go réservés ; 26 Go disponibles pour les données et les applications) demeure inextensible : pas d’emplacement microSD au rendez-vous. La faute à une mise en avant du cloud aux dépens du stockage traditionnel ?
Quand bien même aucun tarif n’est encore gravé dans le Gorilla Glass, Sony veut entrevoir en cet avènement des signes de relance dans la morosité actuelle.
Des suites de la scission avec le suédois Ericsson, seule la division mobile affiche des résultats encourageants à l’issue du premier trimestre fiscal 2012, conclu sur un résultat d’exploitation et net recul de 77,2% sur un an, à 65,5 millions d’euros.
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