Article mis à jour le 17 octobre 2018
Entre Microsoft, Google, Salesforce et autres fournisseurs de progiciels, il faudra compter sur Zoho.
L’éditeur venu d’Inde – il est né à Chennai en 1996 – a fait passer le message à l’occasion d’une visite, début octobre à Paris, de celui qui pilote ses activités sur le marché européen.
Une première étape avait été franchie en 2016 avec l’ouverture de deux datacenters en colocation, à Amsterdam (Interxion) et à Dublin (Equinix).
L’empreinte sur le Vieux continent s’est renforcée au printemps dernier avec l’implantation d’un bureau à Utrecht (Pays-Bas).
En France, Zoho liste un réseau de huit partenaires. Celui mis en avant – ZSphere – compte, parmi ses clients, de grands groupes tels qu’Engie, La Poste et Vinci. Mais aussi des PME, essentiellement franciliennes, à l’image d’Optic Duroc et du Paris Country Club.
À ses débuts, l’éditeur fournissait des solutions de gestion des réseaux. Il s’appelait alors AdventNet. Un virage avait été pris il y a une quinzaine d’années, à commencer par une brique CRM et du traitement de texte.
L’offre comprend aujourd’hui une quarantaine d’applications qui partagent une plate-forme technologique et un modèle de données. Exploitables en cloud public ou privé, elles sont accessibles de trois manières : « à la carte », dans le cadre de la suite « tout en un » Zoho One ou au travers de packs dénommés « suites ».
La première d’entre elles se destine aux métiers de la vente et du marketing. Elle associe CRM, veille stratégique, messagerie, création de sites web, assistante à distance, chat, e-mailing, SEO ou encore gestion des événements.
Les métiers de la finance ont également leur « suite ». Elle regroupe comptabilité, facturation, notes de frais, gestion des stocks et paiement en ligne.
Il existe aussi une composante axée productivité et collaboration, entre réseau social d’entreprise, webconférences et suite bureautique avec signature électronique et gestionnaire de mots de passe.
Zoho a complété son portefeuille avec un volet gestion informatique. On trouve par ailleurs une composante RH (recrutements, gestion de talents), un BPM (automatisation du workflow) et une plate-forme de développement low code. L’ensemble est décliné en applications mobiles et assorti d’une place de marché d’applications.
Image d’illustration : © Zoho
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